Le conseil indépendant répond à deux préoccupations : pouvoir disposer de capacités humaines complémentaires, sans se lier les mains par des embauches fermes et définitives. La persistance de la crise économique oblige les différents acteurs à se recentrer sur son cœur de métier.
Mais, l’entreprise doit aussi nécessairement continuer à bénéficier de ressources d’intelligence supplémentaires…
La persistance de la crise économique que traverse difficilement la France engendre, chez tous les acteurs économiques et sociaux, une réaction de rétraction, faute de visibilité dans les perspectives économiques et faute de confiance dans les décisions politiques. Il faut piloter dans la tempête, à travers un épais brouillard, car il y a un brouillard de la crise comme il y un brouillard de la guerre, comme l’observe les stratèges : on sait quand on y rentre, on ne sait ni quand ni comment ni dans quel état on en sort !
Dans un tel contexte, il faut bien pour le dirigeant de toute entreprise, quelque en soit la forme, s’entourer d’instruments de navigation sans surcharger son embarcation : pas question de gonfler le rôle d’équipage, et pourtant il faut mobiliser des compétences, des savoirs faire, des aides à la décision pour trouver un chemin entre les écueils.
Lire la suite de l’article de Sébastien Bouchindhomme sur le JDN Management/Direction Générale
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